Chronique d'un echec annoncé (OCC 2021)
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Chronique d'un echec annoncé (OCC 2021)
Bon, voilà. Il m'a fallu digérer avant de le faire.
Je pense qu'il faut partir de mars 2020, je sors d'un mois de folie avec de bons enchainements de courses avec des résultats pas dégueu. Je suis en pleine bourre et j'ai un écotrail en vue et l'OCC.
Arrive le premier confinement: retour à la maison, plus de piedtaff, je prend du poids et je me flingue le genou à rien foutre. Fin avril, je suis au fond du gouffre j'arrive plus à plier mon genou pendant 5 jours. obligé d'avoir la jambe en permanence tendue pour m'assoir, dormir, tout le temps.
Mai, ça va mieux je commence une rééduc seul (pas la période pour aller voir les docs). Je recommence l’entrainement avec des temps de merde (vu qu'on a de nouveau le droit d'un peu sortir) mais au moins j'avance.
Juin, je sens que ça revient, je recommence à trouver le flux. mais l'OCC est annulée du fait des incertitudes.
OK, je continue néanmoins pour garder le rythme.
Juillet-Aout, j'ai une pêche de folie qui continueras quelques mois encore. Rando montagne doigts dans le nez avec le petit sur le dos.
Septembre-Octobre: je commence à avoir des ambitions pour le champ de France de marche nordique. J’apprend qu'ils le reculent d'une semaine. je regarde les chiffres Covid...Bordel quelle erreur je me dit sur le coup.
Octobre, je claque tout mes records. Je crois que j'ai rarement été autant en forme qu'à ce moment là. L'alternance taff et sport au taff avec douche au WC et télétravail avec sport à midi me réussi. Fin octobre, à 2 jours du championnat de France de Marche nordique, annonce du confinement. Je suis écroulé car je sais que je viens surement de louper la chance de ma vie de faire mon meilleur classement. Néanmoins je lâche rien sur Novembre et décembre.
Décembre arrive avec la mauvaise nouvelle du couvre feu (je ne sais plus quand exactement en fait, peut-être un mois plus tôt). mais cela signe le "j'ai plus le temps de bien m'entrainer". J'en suis à faire des entrainements dans le parking sous-terrain de l'immeuble, la loose.
Fin décembre et janvier, inscription OCC de nouveau mais je perd ma motivation avec toutes ces restrictions. Je reprend quasi 10kg en 1 mois et demi (fêtes, confinement, perte motiv, etc...).
Je me traine ainsi avec des résultats de merde même au club jusqu'en mars. J'en arrive au point où certains en sont à me suivre pour me motiver et prendre mon temps pour retrouver la forme. Encore un gouffre difficile.
Avril, je reprend un peu mieux, l'écotrail est en vue et bon faudrait pas que je foire tout.
mai-juin, ça va beaucoup mieux avec de la motivation qui revient mais je sens que je suis pas au top. L'ecotrail sera un bon test.
Je le fini comme prévu mais avec 2 inquiétudes: Des crampes anormales en côte et un passage à vide à la fin.
Juillet, je suis crevé mais je continue l'entrainement en rajoutant des côtes et des exercices de chaise.
Août : on va y arriver. je pars tôt à la montagne, rando famille + entrainement avec un gros 15 jours avant consistant à un enchainement tranquille de 3 montées et de quasi 40km. J'arrive quasi frais de cet entrainement à part un ongle qui a morflé. J’achète des protections pour les ongles qui morflent et ça passe bien.
Fin Aout: 1 semaine avant la course je me sens pas bien. Je tombe malade et ça empirera pendant 3 jours avec le fait de plus pouvoir vraiment marcher et des diarhées. A 3 jours de la course je suis paniqué, j'ai un traitement mais il reste peu de temps. A 2 jours j'arrive à remarcher à peu prêt et à 24h un peu mieux mais toujours des diarhées.
Le matin de la course, je sens que ça peut passer. Un doliprane et un autre dans le sac et j'y vais.
Bus à 5h40, ça pique. Je discute avec le gars à côté en lui expliquant le parcours qu'on longe jusqu'à Vallorcine (quelle ironie mais vous verrez plus tard).
Je suis dans la 3eme vague, je dois donc attendre 1h après le premier départ. On fait à chaque départ un hommage au coureur mort 2 jours plus tôt et c'est pesant pour beaucoup. Je sens que j'ai un peu mal au pied mais qu'en m'accrochant ça ira.
Entrée dans le sas de départ, j'ai une grosse émotion. On a les masques mais moi je sens que j'ai de la buée sur mes lunettes car mon objectif est là. Le graal, ce qui m'a poussé à tout faire depuis 7 ans et m'a fait passer de plus de 100Kg à 83. Ma course quasi locale tellement je connais chaque cailloux sur les 20 derniers km(façon de parler).
Départ, je pars pas trop vite en marchant à 7,5km/h. J'en profite un max. Je tape dans les mains des gamins de l'école sur le côté (oui, je sais Covid, tout ça, mais là ça fait partie de la fête). j’engueule un type qui balance un gel par-terre et les petit surenchérissent. Je suis sur un ptit nuage.
Au bout d'un km, première montée. Ca va le faire, les bâtons sont bien réglés (j'ai pris des pliables pour marche main libres dans les descentes)
Autant au départ on me doublais pas mal, autant là je suis tranquille dans le même rythme que beaucoup, je dépasse un peu mais je force pas, pas le moment.
On passe sous une conduite puis ça redescend, c'est roulant je me laisse couler.
Puis ça remonte franchement sur pas mal de km pour arriver au km10 pour le premier ravito de Chapex lac. Je suis bien, j'ai 40min d'avance sur la barrière. Je sais que ce qui attend est difficile, d'autant que j'ai la trouille avec mon vertige.
Après le ravito on longe un superbe lac. J'en profite pour envoyer un peu, car la prochaine barrière est le plan de l'eau dans quelques km. La météo est parfaite, beau temps et 20 degrés vers 11h. Bordel quel bol.
Après le lac, on a un chemin forestier. Je regarde ma montre avec les km et commence à me demander où est la barrière. Je passe près d'une baraque avec des secouristes puis le parle avec un concurrent à côté. il me dit que le plan de l'eau était là mais pas de chrono, ils doivent juste arrêter si retard. J'ai 35 min d'avance, toujours OK.
La montée de la bovine commence donc. le début est cool, malgré quelques coups de cul. Après ça se complique avec des pentes bien violentes. une américaine dit à son mari : "no way" et repart en arrière pour abandonner. Je sens que ça devient dur. je sais que j'ai e l'avance donc je force pas trop mais je dois néanmoins m'arrêter parfois pour boire et récupérer mes jambes. En haut de Bovine (Un peu plus de 2000m je crois) on s'est prit en tout plus de 1700m de deniv. Je croise quelques vaches sur le chemin (pas Bovine pour rien). Je sens que ça va être dur car je sens l'alerte crampe arriver. Mais là c'est la descente donc j'envoie. J'étais venu il y a des années ici.
On va arriver au col de la Forclaz que je connais un peu plus pour avoir fait une balade l'année dernière.
Le ravito est à trient, mais il faut encore aller du col à trient en passant par le chemin du Bisse qui est tranquille mais je commence à être pris par le temps.
Après le chemin du Bisse, il y a une grosse descente avec une passerelle au dessus de la route et on arrive dans le village. J'ai encore 20 min d'avance sur la barrière. Ça commence à être chaud. Certains abandonnent. Ma famille m'envoie un message comme quoi ils m'attendent à vallorcine. Cool, je repars à l’assaut de la 3 ème montée des Tseppes pour une montée équivalente à la bovine en déniv (soit 800m d+ environ). A partir de la moitié, j'essaye tout mais les crampes prennent le dessus. Je m’arrête, repars, sors le sel, la sportéine. J'avais déjà commencé dans la descente à prendre ce que je pouvais pour pallier cette éventualité.
vers les 3/4, 2 gars arrivent derrière et me disent qu'ils sont les fermeurs et me demandent si je redescend ou continue. Je calcule. Non, je continue.
Un calvaire avec des jambes qui ne veulent plus et le désespoir de me louper.
J'arrive en haut dans le timing mais la descente va être dure et j'ai plus rien.
La descente se fait ensemble en discutant et je commence à sentir que je titube. Je suis à bout.
J'arrive finalement à Vallorcine avec 15min de retard et même si on m'avait laissé passer je ne pouvais plus rien monter.
L'ironie est que je connais par cœur la fin et que le plus dur était fait (enchainement Bovine-Tseppes). J'ai donc du lâcher pour la première fois une course en ayant fait 36km sur 56 et 2800m d+ sur 3600. Passer Vallorcine c'est quasi être sur de finir mais je n'ai pas pu.
La preuve que j'étais au bout et le calvaire après le bus pour aller récup les affaires. J'ai eu grosses crampes sur crampes en étant au ralenti. Je n'ai jamais été aussi loin dans la fatigue physique
Rétrospectivement, je pense que la diarrhée m'a déshydraté et m'a tué en déclenchant des crampes plus facilement. Grosso modo, si pas malade avant ça pouvait passer.
Je pense avoir une part de responsabilité aussi sur la période de début d'année où j'ai trop facilement lâché malgré l’enthousiasme. Mes entrainements me montraient que j’étais Ok 3 semaines avant. J'ai du forcer pour compenser mon problème de marche, ce qui n'a pas du aider non plus.
Bref, pas bonnes circonstances mais j'ai pu au moins participer. ce qui a failli me passer sous le nez à très peu de temps prêt.
Mais voilà, impossible pour moi de retenter avec les nouvelles règles de qualif qui nécessitent de courir le monde. J'ai un plan pour néanmoins voir cette arrivée sur une autre course plus accessible qualificativement. Bref, je reviendrais car même si la fin m'a foutu le bourdon j'ai adoré.
Difficile de parler des paysages car j'ai encore la déception mais j'en ai pris plein la vue je peux l'affirmer.
Je pense qu'il faut partir de mars 2020, je sors d'un mois de folie avec de bons enchainements de courses avec des résultats pas dégueu. Je suis en pleine bourre et j'ai un écotrail en vue et l'OCC.
Arrive le premier confinement: retour à la maison, plus de piedtaff, je prend du poids et je me flingue le genou à rien foutre. Fin avril, je suis au fond du gouffre j'arrive plus à plier mon genou pendant 5 jours. obligé d'avoir la jambe en permanence tendue pour m'assoir, dormir, tout le temps.
Mai, ça va mieux je commence une rééduc seul (pas la période pour aller voir les docs). Je recommence l’entrainement avec des temps de merde (vu qu'on a de nouveau le droit d'un peu sortir) mais au moins j'avance.
Juin, je sens que ça revient, je recommence à trouver le flux. mais l'OCC est annulée du fait des incertitudes.
OK, je continue néanmoins pour garder le rythme.
Juillet-Aout, j'ai une pêche de folie qui continueras quelques mois encore. Rando montagne doigts dans le nez avec le petit sur le dos.
Septembre-Octobre: je commence à avoir des ambitions pour le champ de France de marche nordique. J’apprend qu'ils le reculent d'une semaine. je regarde les chiffres Covid...Bordel quelle erreur je me dit sur le coup.
Octobre, je claque tout mes records. Je crois que j'ai rarement été autant en forme qu'à ce moment là. L'alternance taff et sport au taff avec douche au WC et télétravail avec sport à midi me réussi. Fin octobre, à 2 jours du championnat de France de Marche nordique, annonce du confinement. Je suis écroulé car je sais que je viens surement de louper la chance de ma vie de faire mon meilleur classement. Néanmoins je lâche rien sur Novembre et décembre.
Décembre arrive avec la mauvaise nouvelle du couvre feu (je ne sais plus quand exactement en fait, peut-être un mois plus tôt). mais cela signe le "j'ai plus le temps de bien m'entrainer". J'en suis à faire des entrainements dans le parking sous-terrain de l'immeuble, la loose.
Fin décembre et janvier, inscription OCC de nouveau mais je perd ma motivation avec toutes ces restrictions. Je reprend quasi 10kg en 1 mois et demi (fêtes, confinement, perte motiv, etc...).
Je me traine ainsi avec des résultats de merde même au club jusqu'en mars. J'en arrive au point où certains en sont à me suivre pour me motiver et prendre mon temps pour retrouver la forme. Encore un gouffre difficile.
Avril, je reprend un peu mieux, l'écotrail est en vue et bon faudrait pas que je foire tout.
mai-juin, ça va beaucoup mieux avec de la motivation qui revient mais je sens que je suis pas au top. L'ecotrail sera un bon test.
Je le fini comme prévu mais avec 2 inquiétudes: Des crampes anormales en côte et un passage à vide à la fin.
Juillet, je suis crevé mais je continue l'entrainement en rajoutant des côtes et des exercices de chaise.
Août : on va y arriver. je pars tôt à la montagne, rando famille + entrainement avec un gros 15 jours avant consistant à un enchainement tranquille de 3 montées et de quasi 40km. J'arrive quasi frais de cet entrainement à part un ongle qui a morflé. J’achète des protections pour les ongles qui morflent et ça passe bien.
Fin Aout: 1 semaine avant la course je me sens pas bien. Je tombe malade et ça empirera pendant 3 jours avec le fait de plus pouvoir vraiment marcher et des diarhées. A 3 jours de la course je suis paniqué, j'ai un traitement mais il reste peu de temps. A 2 jours j'arrive à remarcher à peu prêt et à 24h un peu mieux mais toujours des diarhées.
Le matin de la course, je sens que ça peut passer. Un doliprane et un autre dans le sac et j'y vais.
Bus à 5h40, ça pique. Je discute avec le gars à côté en lui expliquant le parcours qu'on longe jusqu'à Vallorcine (quelle ironie mais vous verrez plus tard).
Je suis dans la 3eme vague, je dois donc attendre 1h après le premier départ. On fait à chaque départ un hommage au coureur mort 2 jours plus tôt et c'est pesant pour beaucoup. Je sens que j'ai un peu mal au pied mais qu'en m'accrochant ça ira.
Entrée dans le sas de départ, j'ai une grosse émotion. On a les masques mais moi je sens que j'ai de la buée sur mes lunettes car mon objectif est là. Le graal, ce qui m'a poussé à tout faire depuis 7 ans et m'a fait passer de plus de 100Kg à 83. Ma course quasi locale tellement je connais chaque cailloux sur les 20 derniers km(façon de parler).
Départ, je pars pas trop vite en marchant à 7,5km/h. J'en profite un max. Je tape dans les mains des gamins de l'école sur le côté (oui, je sais Covid, tout ça, mais là ça fait partie de la fête). j’engueule un type qui balance un gel par-terre et les petit surenchérissent. Je suis sur un ptit nuage.
Au bout d'un km, première montée. Ca va le faire, les bâtons sont bien réglés (j'ai pris des pliables pour marche main libres dans les descentes)
Autant au départ on me doublais pas mal, autant là je suis tranquille dans le même rythme que beaucoup, je dépasse un peu mais je force pas, pas le moment.
On passe sous une conduite puis ça redescend, c'est roulant je me laisse couler.
Puis ça remonte franchement sur pas mal de km pour arriver au km10 pour le premier ravito de Chapex lac. Je suis bien, j'ai 40min d'avance sur la barrière. Je sais que ce qui attend est difficile, d'autant que j'ai la trouille avec mon vertige.
Après le ravito on longe un superbe lac. J'en profite pour envoyer un peu, car la prochaine barrière est le plan de l'eau dans quelques km. La météo est parfaite, beau temps et 20 degrés vers 11h. Bordel quel bol.
Après le lac, on a un chemin forestier. Je regarde ma montre avec les km et commence à me demander où est la barrière. Je passe près d'une baraque avec des secouristes puis le parle avec un concurrent à côté. il me dit que le plan de l'eau était là mais pas de chrono, ils doivent juste arrêter si retard. J'ai 35 min d'avance, toujours OK.
La montée de la bovine commence donc. le début est cool, malgré quelques coups de cul. Après ça se complique avec des pentes bien violentes. une américaine dit à son mari : "no way" et repart en arrière pour abandonner. Je sens que ça devient dur. je sais que j'ai e l'avance donc je force pas trop mais je dois néanmoins m'arrêter parfois pour boire et récupérer mes jambes. En haut de Bovine (Un peu plus de 2000m je crois) on s'est prit en tout plus de 1700m de deniv. Je croise quelques vaches sur le chemin (pas Bovine pour rien). Je sens que ça va être dur car je sens l'alerte crampe arriver. Mais là c'est la descente donc j'envoie. J'étais venu il y a des années ici.
On va arriver au col de la Forclaz que je connais un peu plus pour avoir fait une balade l'année dernière.
Le ravito est à trient, mais il faut encore aller du col à trient en passant par le chemin du Bisse qui est tranquille mais je commence à être pris par le temps.
Après le chemin du Bisse, il y a une grosse descente avec une passerelle au dessus de la route et on arrive dans le village. J'ai encore 20 min d'avance sur la barrière. Ça commence à être chaud. Certains abandonnent. Ma famille m'envoie un message comme quoi ils m'attendent à vallorcine. Cool, je repars à l’assaut de la 3 ème montée des Tseppes pour une montée équivalente à la bovine en déniv (soit 800m d+ environ). A partir de la moitié, j'essaye tout mais les crampes prennent le dessus. Je m’arrête, repars, sors le sel, la sportéine. J'avais déjà commencé dans la descente à prendre ce que je pouvais pour pallier cette éventualité.
vers les 3/4, 2 gars arrivent derrière et me disent qu'ils sont les fermeurs et me demandent si je redescend ou continue. Je calcule. Non, je continue.
Un calvaire avec des jambes qui ne veulent plus et le désespoir de me louper.
J'arrive en haut dans le timing mais la descente va être dure et j'ai plus rien.
La descente se fait ensemble en discutant et je commence à sentir que je titube. Je suis à bout.
J'arrive finalement à Vallorcine avec 15min de retard et même si on m'avait laissé passer je ne pouvais plus rien monter.
L'ironie est que je connais par cœur la fin et que le plus dur était fait (enchainement Bovine-Tseppes). J'ai donc du lâcher pour la première fois une course en ayant fait 36km sur 56 et 2800m d+ sur 3600. Passer Vallorcine c'est quasi être sur de finir mais je n'ai pas pu.
La preuve que j'étais au bout et le calvaire après le bus pour aller récup les affaires. J'ai eu grosses crampes sur crampes en étant au ralenti. Je n'ai jamais été aussi loin dans la fatigue physique
Rétrospectivement, je pense que la diarrhée m'a déshydraté et m'a tué en déclenchant des crampes plus facilement. Grosso modo, si pas malade avant ça pouvait passer.
Je pense avoir une part de responsabilité aussi sur la période de début d'année où j'ai trop facilement lâché malgré l’enthousiasme. Mes entrainements me montraient que j’étais Ok 3 semaines avant. J'ai du forcer pour compenser mon problème de marche, ce qui n'a pas du aider non plus.
Bref, pas bonnes circonstances mais j'ai pu au moins participer. ce qui a failli me passer sous le nez à très peu de temps prêt.
Mais voilà, impossible pour moi de retenter avec les nouvelles règles de qualif qui nécessitent de courir le monde. J'ai un plan pour néanmoins voir cette arrivée sur une autre course plus accessible qualificativement. Bref, je reviendrais car même si la fin m'a foutu le bourdon j'ai adoré.
Difficile de parler des paysages car j'ai encore la déception mais j'en ai pris plein la vue je peux l'affirmer.
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